Naviguez sur nos enregistrements géolocalisés
L’homme citrouille vit dans la péniche, c’est le capitaine. Chaque jour, Mai cuisine un gâteau de citrouille pour les enfants ce qui rend l’homme citrouille de plus en plus faible. Il va sur le pont réfléchir, admirer le paysage d’écluses en écluses. La vie passe, au fil de l’eau, le temps s’écoule et petit à petit sa tête se rétrécit jusqu’à ce qu’elle disparaisse et il en mourra…
Les bruits du bateau
Le bateau a des bruits de ventilations, dans les toits. le bateau fait 38m de longueur, et 5m de largeur.
Il est grand, il y a 3 salles, 1 cuisine,1 sous-sol, une terrasse et 1 cantine.
La péniche est tenue par un capitaine et un matelot.
Il y a des salles avec des noms par exemple la salle tournesols et la salle Ushuaïa.
Le bateau fait beaucoup de bruit quand il navigue, mais parfois on l’entend pas beaucoup, et quand il démarre sont moteur il attend un peu pour faire chauffer le moteur avant de naviguer. Le bateau a un point faible comme toutes les voitures, bateaux etc.
SUIVEZ NOUS DANS LA DÉCOUVERTE DE LA VILLE DES LUMIÈRES
Tous à bord !
8h30 nous partons de l’école pour aller à la péniche.
Tous ensembles nous allons découvrir des nouvelles choses !
Regarder toutes les péniches qu’il y a, elles sont tellement belles !
Regarder il y a le musée des confluences et un peu à côté y a l’aquarium
Waoooh !!!! vous voyez ça ? On en prend plein les yeux. Regarde là ! Il y a l’écluse de Pierre-bénite de chaque côté il y a des murs, et l’eau descend d’au moins 10 mètres et le bateau avec.
L’écluse est impressionnante, construite avec du béton elle est très haute et il faut un peu de temps pour que l’ascenseur à bateau nous descende. L’éclusier, sympathique, nous a mis de la musique par les haut-parleurs pour l’attente du passage. Nous avons chanté et dansé sur le pont supérieur de notre péniche. Et nous nous sommes bien amusés lors du passage de l’écluse.
La pêche aux sons
Attention ! C’est la mission !
Nous devions faire une exploration.
C’est compliqué de capter un son
Avec les sauts des poissons !
Difficile de capter un bruit,
Avec les oiseaux et leurs cris !
Les oiseaux, les corbeaux,
Les sons tournent en rond,
C’est un tourbillon !
La nature fait beaucoup de bruit,
Elle aussi pousse des cris,
Si on ne l’écoute pas,
La Terre se réchauffera…
Classe de 607
Quand on pêche on a la pêche !
La pêche est une belle activité
Tout le monde peut s’y amuser,
Il faut de la patience.
La pêche, c’est pas la crèche
Il faut le silence.
A notre hameçon,
Les asticots gigotent,
On dirait qu’ils grelottent.
On prend des poissons,
Ablettes et gardons !
Incroyable non ?
Les cygnes sont passés
Et nous ont observés.
La pêche c’est merveilleux,
On est tout heureux.
Quand on pêche on a la pêche !
Classe de 607
La rébellion de la nature
Quand les arbres nous aident à respirer,
On n’a pas l’idée de les remercier…
Quand la nature nous a fécondés,
On n’a fait que la dégrader…
On a chassé les animaux
Pour en faire des manteaux…
De nouvelles planètes à conquérir
Pour encore les détruire…
Mais il y a toujours de l’espoir,
En tout cas, moi j’en vois dans tous les regards.
De nouvelles idées chaque seconde
Qui pourraient aider à créer la nouvelle humanité.
Julien de 607
Carte postale sonore réalisée par les élèves de la classe 607 du collège Charles de Foucauld – Lyon
La mésange chante avec des anges.
Les arthropodes se lancent dans un défilé de mode.
Le héron tourne en rond.
Les grenouilles mangent des nouilles.
Les poules d’eau se cachent dans les roseaux.
Les notonectes nagent avec les insectes.
Les aselles et les demoiselles font leurs belles.
Les libellules aiment les bulles.
Les dytiques et les moustiques font de la politique et de la musique.
Les limnées sont nées en été.
Les gammares pataugent dans la mare.
Les poissons font de grands bonds.
Ce matin, pendant que nous étions dans la forêt, des oiseaux nous ont interpellé :
– « Les amis venez vite quelqu’un a détruit la maison de notre ami le lapin. Aidez-nous c’est horrible !
Dans la forêt nous sommes tous solidaires lorsqu’un d’entre nous souffre, nous souffrons tous avec lui. »
– « Nous allons mener l’enquête ! Partons à la rencontre de témoins et d’indices éventuels. »
Ils nous répondirent :
– « Regardez, une empreinte de sanglier, c’est sans doute lui le coupable. »
– « Attendez, on ne peut pas accuser sans preuves! »